La première chose à savoir sur Hanna Bantli, c’est qu’elle ne tient pas en place. Et la deuxième, c’est qu’elle préfère toujours avoir un appareil photo sur elle. Elle associe donc ses nombreux voyages à la photographie de lieux, de paysages, de situations et de personnes. Elle a désormais trouvé le Leica Q3, un appareil photo qui correspond parfaitement à ses multiples centres d’intérêt, à ses envies de voyage et à son style de photographie. Et elle ne le lâche plus.

«Après avoir utilisé le Leica Q3 de manière intensive, j’en suis venue à la conclusion que je pourrais l’utiliser de manière exclusive. Son capteur 60-MP offre de nombreuses possibilités et une réserve parfaite pour un bon cadrage. Le Q3 est discret, précis, rapide et performant, et son utilisation est intuitive. C’est exactement ce dont j’ai besoin.»

Beaucoup de chaussures, un seul appareil photo

Et Hanna ne dit pas ça à la légère. La photographe a beaucoup d’expérience avec les appareils photo Leica. Elle possède le M10-R, le M11, le SL2 et désormais également le Leica Q3. «Oui, ils se multiplient», s’amuse Hanna. «Je suis tout à fait fascinée par cette technique, cette méthode de photographie, la précision, l’amélioration continue. Leica, c’est un bonheur pour les personnes passionnées par la photographie.» Jusque-là, Hanna traînait avec elle une valise pleine d’appareils photo partout où elle allait. «C’est comme les chaussures. Je ne peux pas aller au théâtre avec des chaussures de randonnée et je ne peux pas randonner en talons hauts. Et j’ai besoin d’avoir le choix en termes d’appareils photo.» Mais depuis qu’Hanna a découvert le Q3, c’est en train de changer. Elle a trouvé le compagnon idéal avec lequel elle peut aller aussi bien en randonnée qu’au théâtre.

«Le Leica Q3, c’est l’appareil photo parfait pour moi. C’est tout. Il s’adapte à toutes les situations, il est moderne et répond à toutes les exigences actuelles. Il est invisible et me permet ainsi d’être au cœur de l’action sans me faire remarquer. C’est à présent l’appareil que j’emmène partout avec moi: il rentre dans mon sac à main et m’accompagne même lorsque je vais faire les courses. Le grand angle est également formidable, mais j’ai dû m’y habituer au début.» L’appareil photo permet à Hanna de se détendre et de se reposer sur lui. Un aspect de la photographie auquel elle accorde une grande importance. Elle a même récemment commencé à faire des portraits avec le Q3. «Je suis très agréablement surprise de voir à quel point cela fonctionne bien. J’ai fait dernièrement plusieurs séances de portrait avec le Q3, et les clients et moi étions très contents du résultat.»

La photographie, une histoire plurielle

L’histoire de la découverte de la photographie par Hanna est en noir et blanc, et ancienne. Elle aimait tellement les photos anciennes, qu’elle a commencé à en faire la collection. «Je n’arrivais pas à jeter les vieilles photos, elles sont dépositaires de tant d’histoire. J’ai donc commencé à les collectionner et je possède aujourd’hui de nombreuses boîtes remplies de vieilles photos.» Son amour de la photographie avec la série M n’est donc pas surprenant, surtout lorsqu’elle s’éloigne des gens et de l’agitation pour se ressourcer dans le calme. «J’aime beaucoup le calme, les paysages désertés. Ou les arbres isolés qui dégagent une sérénité particulière. Pour moi, c’est une forme d’équilibre avec le monde agité dans lequel tout va toujours plus vite. Lorsque je suis dans la nature, que je peux me détendre et que j’ai le Leica M10-R ou le M11 avec moi, je me sens bien et libre.»

Comme cette fois où Hanna s’est assise seule dans la forêt pour profiter du calme et de la solitude. Et que soudain, deux chevreuils sont apparus. «Ils s’approchaient de plus en plus, ils n’avaient pas peur de moi et semblaient m’accepter dans leur environnement. J’aime ce genre de moments. Le seul problème, c’est que j’avais un appareil photo analogique et plus aucune pellicule avec moi.» La rencontre avec une femme âgée que Hanna a photographiée l’a également beaucoup marquée. «Elle m’a dit qu’elle n’avait plus très longtemps à vivre et qu’elle voudrait transmettre une photo faite par moi à ses enfants. Ces histoires sont très précieuses.» Sa propre histoire continue d’être racontée, avec les photos prises avec les appareils Leica qui seront un jour, espérons-le, conservées dans des boîtes. «Ce serait bien que dans 100 ans on regarde encore mes photos pour savoir comment on vivait à notre époque. J’espère que ça sera le cas.»

Hanna Bantli

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https://www.instagram.com/hannabantli

Interview (en allemand): https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=d2Jilt5AvXk